La seconde épreuve des Régates Impériales fut, excusez du peu, digne d’un parcours de l’America’s cup.
Avec un magnifique départ par une houle atteignant 2 mètres, tous les bateaux retrouvaient leurs repères sur le plan d’eau, et c’est à grande vitesse qu’ils filèrent vers les Sanguinaires.
Quelques longueurs seulement séparaient Emeraude, Zephyr et Moonbeam IV tandis que Blue Peter se détachait nettement des autres concurrents.
A la bouée des Sanguinaires, toute la flotte naviguant sous Spi, nous entraînait dans un ballet parfaitement orchestré, un «sans faute» général.
Accompagnés par un vent redoublant d’intensité jusqu’à l’Isolella, les bateaux semblaient surfer sur les vagues, disparaissant parfois sous une houle de 3 mètres.
Avec un magnifique départ par une houle atteignant 2 mètres, tous les bateaux retrouvaient leurs repères sur le plan d’eau, et c’est à grande vitesse qu’ils filèrent vers les Sanguinaires.
Quelques longueurs seulement séparaient Emeraude, Zephyr et Moonbeam IV tandis que Blue Peter se détachait nettement des autres concurrents.
A la bouée des Sanguinaires, toute la flotte naviguant sous Spi, nous entraînait dans un ballet parfaitement orchestré, un «sans faute» général.
Accompagnés par un vent redoublant d’intensité jusqu’à l’Isolella, les bateaux semblaient surfer sur les vagues, disparaissant parfois sous une houle de 3 mètres.
Après l’empannage de la bouée du Campanile, Blue Peter toujours, maintenait le cap, fort de son intelligence technique.
Ce ne furent pas des voiliers mais des fusées qui fendirent les flots sur le Sofitel jusqu’à l’arrivée. Sous une brise de 15 nœuds, la houle s’atténuait peu à peu, permettant ainsi aux plus petites unités comme Lulu ou Jericho de rattraper leur retard.
Aucun perdant seulement de prestigieux vainqueurs surgit d’un autre temps, celui des valeureux Capitaines affrontant tempêtes et Pirates qui peuplaient nos rêves d’enfants.
Alors, rien que pour cette sensation là, merci !...
Ce ne furent pas des voiliers mais des fusées qui fendirent les flots sur le Sofitel jusqu’à l’arrivée. Sous une brise de 15 nœuds, la houle s’atténuait peu à peu, permettant ainsi aux plus petites unités comme Lulu ou Jericho de rattraper leur retard.
Aucun perdant seulement de prestigieux vainqueurs surgit d’un autre temps, celui des valeureux Capitaines affrontant tempêtes et Pirates qui peuplaient nos rêves d’enfants.
Alors, rien que pour cette sensation là, merci !...
