Ce matin là, le soleil se faisait attendre et une fois encore, le vent paraissait d’humeur bien vagabonde. Cependant pour cette ultime régate, les équipages affichaient le même engouement qu’au premier jour. A bord du Mariquita, les notes de saxo escortaient les bateaux comme son rituel de départ et c’est dans l’allégresse générale que l’on s’éloignait du quai...
Sur le plan d’eau, une bonne petite brise accompagnait les concurrents jusqu’au Scudo.
Eilidh réalisait une belle performance face aux trois unité de tête, Hasvoernen, Blue Peter et Halloween. Chez les Aurique, Pesa magnifique de stratégie s’imposait avec intelligence. A Porticcio, le vent décidait de marquer une pause. Puis le mistral tant attendu se levait et finalement une belle brise entre 8 et 10 noeuds permettait à tous de finir le parcours, Pesa et Hasvoernen en tête. Mais pour ceux qui avaient eu la chance de les contempler sur l’eau tous rapportaient la seule victoire qui compte, celle du coeur. Pour preuve, Moonbeam et Mariquita rejoignant le port Tino Rossi à la voile, c’était comme un compliment, un hommage plein de délicatesse que ces gentlemen de la mer dédiaient aux Régates Impériales.
Sur le plan d’eau, une bonne petite brise accompagnait les concurrents jusqu’au Scudo.
Eilidh réalisait une belle performance face aux trois unité de tête, Hasvoernen, Blue Peter et Halloween. Chez les Aurique, Pesa magnifique de stratégie s’imposait avec intelligence. A Porticcio, le vent décidait de marquer une pause. Puis le mistral tant attendu se levait et finalement une belle brise entre 8 et 10 noeuds permettait à tous de finir le parcours, Pesa et Hasvoernen en tête. Mais pour ceux qui avaient eu la chance de les contempler sur l’eau tous rapportaient la seule victoire qui compte, celle du coeur. Pour preuve, Moonbeam et Mariquita rejoignant le port Tino Rossi à la voile, c’était comme un compliment, un hommage plein de délicatesse que ces gentlemen de la mer dédiaient aux Régates Impériales.