Lorsque les équipages quittèrent le quai hier matin, la course qui s’annonçait, ressemblait comme une soeur à celle de la veille : même vent, ciel sans soleil et pluie qui menaçait après une éclaircie bien timide.
Sur le plan d’eau pourtant, la houle faisait déjà la différence et nos navires prenait un plaisir évident à caracoler par dessus les vagues, puissants et altiers comme des pur-sangs. A mi-course, le vent du sud-ouest qui suivait de près cette «chevauchée fantastique» se dit qu’il prendrait bien une direction nord-ouest.. «juste pour voir». Mais c’était bien mal connaître nos impétueux régatiers. Un nouveau caprice, qu’elle aubaine! Et de se livrer à une superbe bataille sur la mer d’étain, faisant fi de la pluie tourbillonante. Vers 15h, le soleil, comme une récompense, réapparaissait dans un ciel lumineux et lavé de frais. Revêtus d’or, les navires fendaient les flots d’émeraude jusqu’au bout d’une course magique.
Les conditions météo différaient peu de celles de la veille : un vent de sud-ouest entre 3 et 4 noeuds avec risque de pluie.
Sur le plan d’eau pourtant, la houle faisait déjà la différence et nos navires prenait un plaisir évident à caracoler par dessus les vagues, puissants et altiers comme des pur-sangs. A mi-course, le vent du sud-ouest qui suivait de près cette «chevauchée fantastique» se dit qu’il prendrait bien une direction nord-ouest.. «juste pour voir». Mais c’était bien mal connaître nos impétueux régatiers. Un nouveau caprice, qu’elle aubaine! Et de se livrer à une superbe bataille sur la mer d’étain, faisant fi de la pluie tourbillonante. Vers 15h, le soleil, comme une récompense, réapparaissait dans un ciel lumineux et lavé de frais. Revêtus d’or, les navires fendaient les flots d’émeraude jusqu’au bout d’une course magique.
Les conditions météo différaient peu de celles de la veille : un vent de sud-ouest entre 3 et 4 noeuds avec risque de pluie.